Greffes, les organes animaux à des hommes, voila qui permettrait de pallier la pénurie de griffons humains. Seulement, cette stratégie, au-delà des difficultés techniques qu’elle rencontre, comporte un risque inquiétant : la transmission à l’homme de virus animaux. Les médecins ont d’ailleurs préféré le porc au singe, pour ton mieux adapter, car les virus simiens peuvent très facilement devenir pathogènes chez l’homme, comme l’illustrent le VIH ou Ebola…
D’après les spécialistes, et les possibles d’éviter l’infection des animaux donneurs en lai maintenant dans des conditions d’élevage stricte. En fait, ceux qu’ils redoutent le plus, ce sont les virus dits endogènes. Ces virus ont généralement perdu leur capacité de réplication, mais on vient de découvrir, in vitro, qu’ils peuvent la retrouver spontanément, et passer d’une cellule animal à une cellule humaine.
Qu’on est-il in vivant ? Déjà, quelques diabétiques bénéficient de l’insuline produite par une grève de cellules porcines et d’autres sont dialysées par des reins de porc. Heureusement, deux études récentes montrent qu’ils n’ont été contaminés par aucun virus porcin connu. Mais ils sont encore si peu nombreux qu’on ne peut certifier l’absence de risque.
Quelles seraient les conséquences dues épidémie due xénogreffe ? Nul ne sait. « Nous devons rester extrêmement prudents », disent les médecins. Si l’enjeu thérapeutique était moins important, ces travaux auraient probablement étaient déjà interrompues. Les autorités médicales ne devrait elle pas demander le » consentement éclairés » des populations et n’ont pas seulement celui des participants ou expérimentations cliniques ?
D’après les spécialistes, et les possibles d’éviter l’infection des animaux donneurs en lai maintenant dans des conditions d’élevage stricte. En fait, ceux qu’ils redoutent le plus, ce sont les virus dits endogènes. Ces virus ont généralement perdu leur capacité de réplication, mais on vient de découvrir, in vitro, qu’ils peuvent la retrouver spontanément, et passer d’une cellule animal à une cellule humaine.
Qu’on est-il in vivant ? Déjà, quelques diabétiques bénéficient de l’insuline produite par une grève de cellules porcines et d’autres sont dialysées par des reins de porc. Heureusement, deux études récentes montrent qu’ils n’ont été contaminés par aucun virus porcin connu. Mais ils sont encore si peu nombreux qu’on ne peut certifier l’absence de risque.
Quelles seraient les conséquences dues épidémie due xénogreffe ? Nul ne sait. « Nous devons rester extrêmement prudents », disent les médecins. Si l’enjeu thérapeutique était moins important, ces travaux auraient probablement étaient déjà interrompues. Les autorités médicales ne devrait elle pas demander le » consentement éclairés » des populations et n’ont pas seulement celui des participants ou expérimentations cliniques ?
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