Utiliser une bactérie de la flore intestinale comme traitement préventif anti-VIH, c’est l’idée de biologistes américains de l’institut national de la santé. Les chercheurs ont génétiquement modifié une souche de la bactérie Escherichia coli afin de lui faire produire une protéine empêchant la fusion entre le VIH et sa cellule cible. Introduite dans des souris femelles, E.coli a colonisé, sans effets indésirables notoires, les muqueuses intestinales, vaginales et rectales qu’elles ont tapissées de leur sécrétion anti-VIH. Mais son efficacité n’a pas été examinée in vivo.
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