Parmi les divers pollutions néfastes. Il a en a une des plus répandues. Des plus graves et des plus sournoises. Contre laquelle devraient tendre les efforts préventifs : le tabac. En effet, toutes les méthodes proposées pour arrêter de fumer se soldent par un taux considérable d’échecs. Comme les médicaments, les thérapeutiques non pharmaceutiques (l’acupuncture, la psychothérapie, même dans le cadre de ‘’méthodes de groupes’’, ou les cures qui prétendent allier l’utile à l’agréable) n’aboutissent qu’à des résultats éphémères. Et si est vrai que prés de 18% des tabagiques obtiennent un sevrage uniquement par leur propre volonté, il faut savoir qu’il s’agit. En fait, de sujet dont la majorité ont dépassé » la soixantaine. Ou de ceux qui ont été victimes de la pathologie tabagique.
Les dégâts de l’intoxication tabagique étant, en outre, irréversibles, force est de reconnaître que ce sont l’information et l’éducation des jeunes qui offrent le meilleur terrain d’action ; plutôt que d’interdire, il renseigner , expliquer, exposer les conséquences fâcheuses. Parfois catastrophiques, du tabagisme.
Peut-on, dès lors, considérer comme opportune, par exemple, la récente déclaration d’une personnalité qui affirmait avoir été un grand fumeur et avoir subi une opération efficace pour un cancer du poumon, cette déclaration ne minimise-t-elle pas la gravité du risque auquel s’expose les jeunes qui, comme le confirment les récentes enquêtes, s’engagent de plus en plus dans la voie du tabagisme ? Entretenir l’illusion qu’il existe une thérapeutique efficace pour le fumeur victime d’un cancer ou d’une forme invalidante de bronchite chronique, c’est, croyons-nous, à l’heure actuelle, porter un coup sévère à la dure tache de tout ceux qui luttent contre l’intoxication tabagique.
On peut être surpris par le laxisme qui règne dans ce domaine : dans les locaux à usage collectif et jusqu’aux salles d’attente des consultations hospitalières, on continue de fumer : on tolère la publicité, scandaleuse par son importance (souvent sur une page entier), de diverses marque de cigarettes dans les hebdomadaires, dans les quotidiens, sur les énormes panneaux des lieux de rencontre sportive ! Le petit écran constitue, lui aussi, un spectaculaire moyen de diffusion du tabagisme, par le seul fait que la majorités des personnalités interviewées sont entrain de fumer. Comment, dans ces conditions, les jeunes téléspectateurs ne seraient ‘ils pas impressionné par l’image, les gestes d’une grande romancière, d’une vedette, d’un homme politique, d’un homme de science, voire d’un célèbre professeur de médecine, qui participent à des débats, cigarette à la main ? Peut-on douter, dans ces conditions, qu’à la réussite, à la popularité ou l’idéal que symbolisent ces personnalités, la cigarette ne reste associé ?
Il est certain que de meilleurs résultats dans la lutte antitabagique seraient obtenus si celle-ci s’adressait. En priorité. Aux nouvelles générations non encore intoxiquées, et si la cigarette, démythifiée, perdait sa force de symbole de ‘’virilité’’ et d’émancipation.
Les dégâts de l’intoxication tabagique étant, en outre, irréversibles, force est de reconnaître que ce sont l’information et l’éducation des jeunes qui offrent le meilleur terrain d’action ; plutôt que d’interdire, il renseigner , expliquer, exposer les conséquences fâcheuses. Parfois catastrophiques, du tabagisme.
Peut-on, dès lors, considérer comme opportune, par exemple, la récente déclaration d’une personnalité qui affirmait avoir été un grand fumeur et avoir subi une opération efficace pour un cancer du poumon, cette déclaration ne minimise-t-elle pas la gravité du risque auquel s’expose les jeunes qui, comme le confirment les récentes enquêtes, s’engagent de plus en plus dans la voie du tabagisme ? Entretenir l’illusion qu’il existe une thérapeutique efficace pour le fumeur victime d’un cancer ou d’une forme invalidante de bronchite chronique, c’est, croyons-nous, à l’heure actuelle, porter un coup sévère à la dure tache de tout ceux qui luttent contre l’intoxication tabagique.
On peut être surpris par le laxisme qui règne dans ce domaine : dans les locaux à usage collectif et jusqu’aux salles d’attente des consultations hospitalières, on continue de fumer : on tolère la publicité, scandaleuse par son importance (souvent sur une page entier), de diverses marque de cigarettes dans les hebdomadaires, dans les quotidiens, sur les énormes panneaux des lieux de rencontre sportive ! Le petit écran constitue, lui aussi, un spectaculaire moyen de diffusion du tabagisme, par le seul fait que la majorités des personnalités interviewées sont entrain de fumer. Comment, dans ces conditions, les jeunes téléspectateurs ne seraient ‘ils pas impressionné par l’image, les gestes d’une grande romancière, d’une vedette, d’un homme politique, d’un homme de science, voire d’un célèbre professeur de médecine, qui participent à des débats, cigarette à la main ? Peut-on douter, dans ces conditions, qu’à la réussite, à la popularité ou l’idéal que symbolisent ces personnalités, la cigarette ne reste associé ?
Il est certain que de meilleurs résultats dans la lutte antitabagique seraient obtenus si celle-ci s’adressait. En priorité. Aux nouvelles générations non encore intoxiquées, et si la cigarette, démythifiée, perdait sa force de symbole de ‘’virilité’’ et d’émancipation.
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire