Le ministre américain de la santé répond ‘’non’’ ! il a même qualifié de ‘’guide à l’usage des terroristes ‘’ l’article de juillet 2005 dans lequel deux mathématicien de Stanford envisagent les conséquences –dramatique – de l’introduction délibérée de toxine botulique dans le réseau de distribution de lait des Etats-Unis. Et demandé à la revue PNAS de ne pas publier cette étude. Une injonction qui aurait seulement retardé sa parution de deux semaines. dans l’éditorial qui accompagne l’article , le président de l’académie des sciences américaines se justifie : d’abord, il faut confronter ces résultats aux critique de la communauté scientifique , mais aussi alerter les autorités et le grand public , pour mieux prévenir les attentats bioterroristes .
Pourtant, en 2003, les éditeurs des principales revues scientifiques américaines avaient signé une charte de bonne conduite : ils s’engageaient à ne rien diffuser qui compromettre la sécurité nationale .or, la revue estime avoir respecter la règle puisque toute les information sensibles sont déjà accessibles sur Internet ! ‘’En France, le cas ne s’est pas encore présenter, relève Edouard Brésin, président de l’académie des sciences, mais nous serons sans doute amenés à définir des recommandations.’’ Et d’ajouter :’’il ne faut pas bloquer la discussion scientifique au nom de la sécurité.’’ un subtil équilibre à trouver…
Pourtant, en 2003, les éditeurs des principales revues scientifiques américaines avaient signé une charte de bonne conduite : ils s’engageaient à ne rien diffuser qui compromettre la sécurité nationale .or, la revue estime avoir respecter la règle puisque toute les information sensibles sont déjà accessibles sur Internet ! ‘’En France, le cas ne s’est pas encore présenter, relève Edouard Brésin, président de l’académie des sciences, mais nous serons sans doute amenés à définir des recommandations.’’ Et d’ajouter :’’il ne faut pas bloquer la discussion scientifique au nom de la sécurité.’’ un subtil équilibre à trouver…
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