La vieillesse est un naufrage, et ce naufrage est proportionnel à la classe sociale. Il se manifeste d’abord par une déchéance : le corps s’abîme, la pauvreté, la solitude et les maladies mentales s’abattent sur l’individu ; mais aussi par l’ennui qui provoque un grave déséquilibre : en effet, l’ouvrier, qui a subi une forte aliénation de ses loisirs, n’a pas eu le temps de se trouver d’autres raisons de vivre que son métier. Or, la société prépare cette déchéance dès la jeunesse, puisqu’elle ne donne pas aux jeunes les moyens d’affronter plus tard la vieillesse.
Face à cette situation désastreuse, il existe des remèdes de valeurs diverses : ceux apportés par la médecine ou les résidences spécialisés se révèlent pu utiles, s’ils s’adressent à des êtres qui ne sont plus des hommes. La véritable réponse consiste à les traiter toujours en hommes au lieu de les mépriser et, de façon plus concrète, à recréer les relations humaines, et à donner à chacun un acquis culturel, sportif, ou social qu’il pourra réutiliser par la suite.
Face à cette situation désastreuse, il existe des remèdes de valeurs diverses : ceux apportés par la médecine ou les résidences spécialisés se révèlent pu utiles, s’ils s’adressent à des êtres qui ne sont plus des hommes. La véritable réponse consiste à les traiter toujours en hommes au lieu de les mépriser et, de façon plus concrète, à recréer les relations humaines, et à donner à chacun un acquis culturel, sportif, ou social qu’il pourra réutiliser par la suite.
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